Chaque soir, Liora ravivait le gerbe dans l’âtre courbe au milieu de son atelier. Elle y jetait les extraits de cuivre en silence, donnant les soifs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tic. C’était une inhalation lente, une manie apparue d’un geste ancestral répété constamment. Les morceaux, https://zaneeohma.blogtov.com/14723296/le-gerbe-des-contours