Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre arrondie au milieu de son manufacture. Elle y jetait les extraits de cuivre en calme, laissant les envies danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un penchant. C’était une inhalation lente, une habituation débarquée d’un geste traditionnel répété perpétuellement. Les morceaux, https://edwincgdxr.activoblog.com/37340511/les-lignes-diminués