Dans un seul cabinet localisé en périphérie de cambrais, une acupunctrice pratiquait son art durant plus de dix années dans une discrétion suprême. Les murs en achèvement franc, l’odeur d’huiles primordiales et le calme régulier formaient l’écrin extraordinaire dans les séances journalieres. Jusqu’au ouverture où, en plantant une aiguille au https://franciscobddbx.bloggosite.com/41012010/la-première-pulsation