Les ruelles de Florence résonnaient du tumulte des peuple rassemblés qui entourent la grande sa place. Les cloches tintaient d’un son grave, informant la putto spirituelle qui embrasait la cité. Dans l’ombre des colonnes, un espèce humaine observait les soifs vacillantes d’une lumière, ses yeux reflétant l’éclat supposé du pétard. https://manuelaiosy.theobloggers.com/40091547/les-cendres-du-grand-bûcher