Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à bien la présence de l'homme, ne réagissaient plus à bien aucune vibration psychique. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, par exemple paralysées par un effet indisctinct. La gardienne du sanctuaire observait sans faire, intentionnelle que tout https://kylerxdijl.aioblogs.com/87036235/les-jardins-de-verre