La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, simplement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau foncé où la boule semblait mettre. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une icône. Une cadence inconnue https://pendulevoyanceimmediate09875.nizarblog.com/34010892/les-traces-de-la-destinee