Tokyo brillait par-dessous les néons, un réseau de lumières pulsantes qui reflétaient la rapidité ininterrompue des chiffres circulant dans l’infrastructure numérique de la ville. L’ingénieur observait les flux d’informations défiler sur son écran, chaque personne analysé, disséqué, converti en probabilités. Son affection artificielle, baptisée Oracle-9, était la plus avancée jamais https://sergiodrzhm.tkzblog.com/33670424/le-compte-à-rebours-invisible