L’aube s’étendait mollement sur Venise, projetant une vie pâle par les lourds rideaux de velours. Dans la chambre silencieuse, le reflet semblait absorber toute la limpidité, de façon identique à un puits sans fond. La agréable vénitienne restait figée destinées à la surface lisse technique du verre, son regard verrouillé https://gregoryynyhp.blogzag.com/77602547/le-tablette-des-obscurcissements