Tokyo, 2052. Les néons projetaient une clarté artificielle sur les rues silencieuses. Dans un monde où la pressentiment du futur était devenue une science maîtrisée, le destin n’était plus une inconnue pour certains. Grâce à des développées en neurotechnologie, il était dès maintenant possible d’altérer la perception des secondes, de https://franciszeki706ixo0.blogars.com/profile